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noun \əb-ˈzər-vər\
: a person who sees and notices someone or something
: a person who pays close attention to something
: a person who is present at something (such as a meeting) in order to watch and listen to what happens
an OBSERVER
Tuesday, October 28, 2025
The Secret Conversations Behind the Threat of the 51st US State
,..
,,
Donald Trump, le président des États-Unis, avait déjà évoqué, durant son premier mandat, en privé avec Justin Trudeau, alors premier ministre canadien, l’idée de faire du Canada le 51e État américain, a pu confirmer Radio-Canada. Cette menace est désormais la trame de fond de la campagne électorale fédérale.
TRANSCRIPT FRENCH ENGLISH LOWER
J'ai parlé à des sources très haut
placées pour essayer de comprendre
0:03
comment l'idée de faire du Canada
le 51ᵉ État américain
0:07
est passée de la simple blague
à une menace sérieuse,
0:10
et je ne m'attendais pas à avoir
les réponses que j'ai eues.
0:13
- Le Canada
serait parfait
0:15
pour être notre
51e État.
0:17
- On pensait tous que c'est
pendant le fameux souper à
0:20
Mar-a-Lago, en Floride,
que Donald Trump a proposé
0:22
pour la première fois à Justin
Trudeau que le Canada
0:25
devienne le 51ᵉ État.
0:27
Pendant le souper de 3 heures,
0:29
le président était assis
à la gauche du premier ministre,
0:32
qui était aussi accompagné
d'une délégation canadienne,
0:35
dont son ami et ministre
Dominic LeBlanc.
0:38
C'était juste
après que Donald Trump,
0:40
qui venait d'être élu, menace
d'imposer des tarifs au Canada.
0:44
Mais ce que j'ai appris, c'est
que le président avait déjà fait
0:47
allusion au 51ᵉ État
à Justin Trudeau,
0:51
pendant son premier mandat
entre 2017 et 2020.
0:55
Je ne peux pas donner de détails
sur ce qui s'est dit
0:57
ou dans quel contexte,
0:58
parce que ça permettrait
d'identifier mes sources.
1:01
Mais ce que je peux dire,
c'est que ça s'est passé
1:03
dans des conversations privées
1:05
et il y a fait ces allusions-là
sur le 51ᵉ État
1:08
à plusieurs reprises,
mais à l'époque,
1:11
ça n'a jamais été perçu
comme une menace.
1:13
Si on revient à Mar-a-Lago
en novembre,
1:15
quand Justin Trudeau a quitté
la résidence de Donald Trump,
1:19
il a dit qu'il avait eu
1:20
une excellente conversation
avec le président désigné.
1:23
- C’était une excellente conversation.
1:25
- Mais ce qu’il n’a pas dit,
1:26
c'est que pendant le souper,
quand il a parlé des tarifs
1:29
au président et de l'impact majeur
que ça aurait pour le Canada,
1:32
Donald Trump a accusé le Canada
d'être responsable
1:35
d'un déficit commercial
pour les États-Unis
1:38
et de ne pas être en mesure
d'assurer sa défense militaire.
1:42
Et là, devant tout le monde
à table,
1:44
le président a dit quelque chose
comme : « Ben, pourquoi est-ce que
1:47
le Canada ne deviendrait pas
le 51ᵉ État? Comme ça
1:51
tout ça serait réglé. »
1:52
Sur le coup, tout
le monde a ri.
1:54
Les Canadiens étaient convaincus
que c'était une blague.
1:57
Ils sont rentrés à la maison
avec le sourire.
2:00
Quelques jours après le souper à
Mar-a-Lago, Fox News
2:02
diffuse les grandes lignes
de ces discussions sur le 51ᵉ État
2:07
qui jusque-là
étaient restées secrètes.
2:10
- Il a dit, Trump a dit :
2:12
« Peut-être que le Canada
devrait devenir le 51e État. »
2:15
- À partir de là,
les choses ont déboulé.
2:18
Le ministre LeBlanc a eu beau
dire que ce n'était pas sérieux.
2:21
- C'est sûr qu'il y avait
des moments de blagues.
2:24
- ... les déclarations
du président Trump
2:26
se sont succédé
sur les réseaux sociaux.
2:28
Il a qualifié Justin Trudeau de
gouverneur du grand État du Canada.
2:33
Il a même affirmé
que bien des Canadiens
2:35
étaient favorables à l'annexion
de leur pays aux États-Unis.
2:39
Arrive le 1ᵉʳ février.
2:41
Les États-Unis confirment
que des tarifs de 25 %
2:44
vont être imposés sur certains
produits en provenance du Canada.
2:48
Justin Trudeau annonce
que le Canada va riposter.
2:51
La guerre commerciale
est déclenchée.
2:54
Cette décision met en péril
une relation économique historique.
3:00
Les deux dirigeants
3:00
s'appellent deux jours plus tard,
le 3 février.
3:03
Ils vont se parler à deux reprises
cette journée-là.
3:06
Normalement, des appels comme ça,
c'est ultra confidentiel.
3:10
Mais j'ai parlé à
des témoins directs
3:12
qui m'ont rapporté le contenu
de ces conversations.
3:15
Le premier appel est bref.
3:18
Le deuxième, en après-midi,
dure une quarantaine de minutes.
3:22
Quand Justin Trudeau
demande comment régler
3:24
l'enjeu des tarifs,
le président le prend de court.
3:28
Il lui demande s'il
connaît l'existence d'un obscur
3:30
traité de 1908 qui lie
les deux pays. Dans le bureau
3:34
du premier ministre,
3:35
tout le monde
est perplexe.
3:37
On se met à googler
frénétiquement
3:39
et le président dit :
« C'est intéressant
3:42
parce que sans ce traité-là,
3:44
bien, il n’y en a pas, de frontière.
3:46
Mais ça ne s'arrête pas là.
3:47
Le même jour, Howard Lutnick,
le fidèle secrétaire
3:51
au Commerce du président,
en rajoute une couche en coulisses.
3:55
Il contacte le ministre Dominic
LeBlanc et il lui nomme des traités
3:59
qui lient le Canada
et les États-Unis.
4:02
Il mentionne le traité des Five Eyes
4:04
qui concerne le partage
d'informations classifiées.
4:07
Il parle aussi de la Commission
mixte internationale
4:10
qui est responsable d’un traité
qui concerne la gestion commune
4:13
des Grands Lacs
et du fleuve Columbia.
4:16
Il mentionne également l'OTAN
et le NORAD qui s'occupent
4:19
de la surveillance de l'espace
aérien nord-américain.
4:22
Et il dit que tous ces traités
s'annulent facilement
4:26
grâce à la seule signature
du président.
4:30
Là, c'est l'alerte générale.
4:32
Pour la première fois,
le président et sa garde rapprochée
4:36
ont mis en mots les moyens
qu'ils pourraient utiliser
4:39
pour s'attaquer à la souveraineté
territoriale du Canada.
4:43
Finalement,
ce jour-là, l'administration Trump
4:45
va accorder un sursis
d'un mois pour les tarifs.
4:48
Mais la guerre commerciale
va reprendre un mois plus tard.
4:51
Justin Trudeau convoque
une conférence de presse.
4:54
Et cette fois-là,
le ton est très différent.
4:57
- C'est une chose très
stupide à faire.
5:01
D'après ce que j'ai appris, Donald
Trump était insulté d'entendre ça.
5:05
Le lendemain, lui et Justin Trudeau
vont se parler.
5:08
Jusque-là, les conversations
entre les deux chefs
5:10
d'État étaient
assez cordiales.
5:12
Ils s'appelaient
par leur prénom.
5:14
Ils prenaient des nouvelles
de leurs familles respectives.
5:16
Mais ce jour-là,
ce n'est pas ce qui s'est passé.
5:19
Pendant de longues minutes,
le président
5:22
s'emporte sur le déficit commercial
avec le Canada.
5:25
C'est impossible
de l'interrompre.
5:27
Et le président quitte
la conversation abruptement.
5:30
C'est la dernière fois
qu'ils se sont parlé.
5:33
Justin Trudeau a
quitté la vie politique
5:35
dans les jours
qui ont suivi.
5:36
- Merci, mes amis.
5:38
Merci pour tout.
5:40
- Mais il ne faut pas croire
que le président Trump
5:42
a mis de côté
ses intentions expansionnistes.
5:45
C'est devenu ça la trame de fond
de la campagne électorale fédérale.
5:48
Parce que tous les partis,
peu importe leurs divergences,
5:52
ont compris que les ambitions
du président Trump
5:55
dépassent largement
les frontières.
______________________
ENGLISH
GOGLE TRANSLATE
I spoke to very high-ranking sources to try to understand
how the idea of making Canada the 51st U.S. state
went from a simple joke to a serious threat,
and I didn't expect the answers I got.
- Canada would be perfect
to be our 51st state.
- We all thought it was during the famous dinner at
Mar-a-Lago, Florida, that Donald Trump first proposed
to Justin Trudeau that Canada
become the 51st state.
During the three-hour dinner,
the president sat to the left of the prime minister,
who was also accompanied by a Canadian delegation,
including his friend and minister Dominic LeBlanc.
This was just after Donald Trump,
who had just been elected, threatened to impose tariffs on Canada.
But what I learned is that the president had already alluded to the 51st state with Justin Trudeau during his first term between 2017 and 2020. I can't give details about what was said or in what context, because that would reveal my sources.
But what I can say is that it happened in private conversations, and he made these allusions to the 51st state several times, but at the time, it was never perceived as a threat.If we go back to Mar-a-Lago in November, when Justin Trudeau left Donald Trump's residence, he said he had had an excellent conversation with the president-elect.
It was an excellent conversation.But what he didn't say was that during dinner, when he spoke to the president about tariffs and the major impact they would have on Canada, Donald Trump accused Canada of being responsible for a trade deficit for the United States and of not being able to ensure its military defense.
And then, in front of everyone at the table, the president said something like, "Well, why doesn't Canada become the 51st state? That way, all of this would be solved."At first, everyone laughed.The Canadians were convinced it was a joke.
They went home with smiles on their faces.
A few days after the dinner at Mar-a-Lago, Fox News broadcast the main points of these discussions about the 51st state, which until then had remained secret.- He said, Trump said:
"Maybe Canada should become the 51st state."
- From then on, things spiraled out of control.
Minister LeBlanc tried to say it wasn't serious.
- Of course, there were some jokes involved.
- ...President Trump's statements
followed one after another on social media.
He called Justin Trudeau the governor of the great state of Canada.
He even claimed that many Canadians
were in favour of annexing their country to the United States.
Then came February 1st.
The United States confirmed that tariffs of 25%
would be imposed on certain products from Canada.
Justin Trudeau announced that Canada would retaliate.
The trade war was on.
This decision jeopardized a historic economic relationship.
The two leaders
spoke by phone two days later, on February 3rd.They spoke twice that day.
Normally, calls like that are highly confidential.
But I spoke to eyewitnesses
who told me what those conversations were about.
The first call was brief.
The second, in the afternoon, lasted about forty minutes.
When Justin Trudeau asked how to resolve
the tariff issue, the president caught him off guard.
He asked him if he knew about an obscure
1908 treaty that bound the two countries.In the prime minister's office,
everyone was perplexed.
They started frantically Googling it,
and the president said, "That's interesting because without that treaty, well, there wouldn't be a border."
But it didn't stop there.
That same day, Howard Lutnick, the president's loyal Secretary of Trade, added fuel to the fire behind the scenes.
He contacts Minister Dominic LeBlanc and names treaties
that bind Canada and the United States.
He mentions the Five Eyes Treaty
which concerns the sharing of classified information.
He also talks about the International Joint Commission
which is responsible for a treaty concerning the joint management
of the Great Lakes and the Columbia River.
He also mentions NATO and NORAD, which are responsible
for monitoring North American airspace.
And he says that all these treaties can be easily nullified
with just the president's signature.
At this point, it's a general alarm.
For the first time, the president and his inner circle
put into words the means they could use
to attack Canada's territorial sovereignty.
Finally, that day, the Trump administration
will grant a one-month reprieve on the tariffs.
But the trade war will resume a month later.
Justin Trudeau calls a press conference.
And this time, the tone is very different.
"That's a very stupid thing to do."
From what I've heard, Donal
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